Réaliser une robe en tricot n’est pas une mince affaire (épisode 1)

Au début, on est tout excité de pouvoir réaliser nous-même la robe de nos rêves. Et puis après, les galères arrivent !

Tricoter une robe quand ça fait juste quelques mois qu’on a commencé le tricot c’est un peu comme escalader l’Everest sans s’y être correctement préparé.

Mais en tant que sister têtue, je me suis quand même lancée dans ce projet pharaonique. J’ai tout de même transformé mon projet pour qu’il soit un peu moins ambitieux. Avant de créer la robe de mes rêves, il me faut en tricoter plusieurs pour pouvoir appréhender le comportement du coton ou de la laine. En effet, une robe tricotée, c’est lourd, il y a de fortes chances pour que la robe s’allonge […]. De plus, avant de me lancer dans la création d’une robe de A à Z, je dois étoffer mes connaissances techniques en tricot.

J’ai par conséquent décidé de créer ma robe en partant d’un modèle existant de Burda ! Comme je suis plutôt grande, j’ai recalculé les dimensions de la robe et ajouté les mailles nécessaires pour qu’elle ne soit pas trop courte. Ça serait bête de passer des dizaines d’heures pour une robe que je ne porterais pas…

Une fois les calculs faist, je n’ai plus qu’à m’y mettre ! C’est ce que j’ai fait dans le train pour aller de Nice à Grenoble, soit 6h de voyage. C’est précisément à me moment-là que je me suis rendue compte que ça allait être long, très long ! J’adore le point de riz, je l’avais déjà utilisé pour le poncho d’Alexis mais il est sacrément long à tricoter … Le pire c’est que je m’étais déjà faite cette réflexion en tricotant le poncho et je m’étais également dite que je ne l’utiliserai plus pour de gros ouvrages. Je suppose que avant de commencer ma robe, ces résolutions ont du passer à la trappe…

Work in Progress

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